Nous venons au monde dans un premier souffle, et nous rendons notre âme dans un dernier soupir.
Entre ces deux temps, nous n’avons de cesse de RESPIRER.
Mais de quelle façon? Il y a des dizaines de façons de respirer.
La connaissance du souffle va nous permettre de gérer nos émotions, de développer, de renforcer notre bien-être. Respirer en conscience va rétablir l’équilibre dans notre corps et dans nos pensées. Mieux je respire, mieux je me sens, mieux je pense, mieux je vis.
Le sommeil est un acte naturel et vital. Il fait partie intégrante d’un mode de vie sain et équilibré, et doit être qualitatif ET quantitatif.
Il permet de récupérer sur les plans physiques, psychiques, stimule le système nerveux, renforce l’immunité, ameliore le métabolisme…. bref, une vrai cure de jouvence vous est offerte chaque nuit.
Pourquoi la sophrologie aura un impact sur votre sommeil?
Je vous souhaite de belles nuits !
La douleur est un vaste sujet. Selon l’IASP (Association internationale pour l’étude de la douleur) il s’agit d’«Une expérience sensorielle et émotionnelle désagréable associée ou ressemblant à celle associée à une lésion tissulaire réelle ou potentielle».
Le ressenti de la douleur est cependant subjectif, il est perçu différemment selon les individus et aussi selon l’environnement dans lequel il se trouve. On sait grâce à l’imagerie cérébrale que les centres cérébraux qui traitent la perception de la douleur sont liés au centre des émotions.
Il est reconnu aujourd’hui que les émotions sont des facteurs de vulnérabilité et de maintient de la douleur, et en même temps des alliés pour son apaisement. En particulier pour les douleurs chroniques.
Que la douleur soit aigüe ou chronique, elle est accentuée par la fatigue, le stress , les tensions musculaires, l’état dépressif….
Les thérapies psychocorporelles telles que la sophrologie, proposent un complément de prise en charge très intéressant puisque qu’elles s’attardent sur les aspects sensoriels, émotionnels, et affectifs. C’est notre rapport à la douleur qui est au cœur de l’accompagnement sophrologique.
L’idée est d’amener la personne douloureuse à comprendre et reprendre le contrôle de ses ressentis pour les maitriser, grâce aux exercices de relaxation, de relâchements musculaires . La respiration guidée par le sophrologue va stimuler le système parasympathique, ce qui aura pour effet de diminuer la douleur. Les exercices de visualisations vont aider à la sécrétion d’endorphines, provoquant une sensation de détente et donc d’apaisement.
La gestion de la douleur en sophrologie va venir soutenir et optimiser les traitements médicaux. Elle ne s’y substitue pas.
Pour aller plus loin:
Prendre sa vie et son stylo en main… En voilà une bonne idée !
Écrire, c’est se faire du bien, c’est exprimer ce que l’on porte en soi, ses émotions, ses peines, ses joies, ses envies, et penser à demain.
Déshabillage du mental, strip-tease de l’être, les bienfaits thérapeutiques de l’écriture sont nombreux et tellement libérateurs!
LIBÉRER SON ESPRIT
L’écriture est une forme de méditation. Excellent pour mettre de l’ordre dans ses idées, se recentrer sur soi, prendre du recul… autant de bienfaits qui nous font nous sentir bien avec nous-mêmes.
UNE THÉRAPIE
Souvenez vous si vous avez tenu un journal intime dans votre jeunesse, ces carnets servaient de refuge à vos vies.
On peut opter aussi pour une approche tournée vers le positif exclusivement. Chaque soir avant de dormir, ouvrez votre petit carnet et notez trois choses positives qui vous sont arrivées dans la journée (même des petites choses très simples). De quoi booster la confiance et l’estime de soi. De plus, avoir un regard positif sur les choses permet de ne pas ruminer et de se concentrer sur ce qui va bien.
SE CHALLENGER
Écrire peut être aussi source de motivation. Listez vos envies, vos projets, vos objectifs, faites des « To do list » … Savez vous qu’écrire vos objectifs augmente de 40% vos chances de les atteindre? Ils sont ainsi priorisés, ils nous engagent envers nous-même, et l’acte d’écrire est un « premier pas » vers la réalisation.
Coup de cœur pour ce carnet aux éditions Gallimard, à s’offrir ou se faire offrir pour se connaitre un peu mieux soi même, à faire seul, à deux, en famille…..!
Les réponses de Marcel Proust apparaissent en bas de page.
Prix Fnac: 6€54
La cohérence cardiaque est une technique de relaxation qui s’appuie sur le contrôle de la respiration. Elle va venir réguler notre système nerveux autonome.
Notre cerveau émotionnel est relié à notre cœur par deux branches: Le système nerveux sympathique et le système nerveux parasympathique.
Ce dernier est activé par une respiration ample et profonde et va ralentir notre rythme intérieur, dont la fréquence cardiaque, en équilibrant et modulant le cortisol, l’hormone du stress .
A chaque instant, le cœur est soumis aux « accélérations » et aux « freins » de ces deux systèmes, comme un véhicule. Nous avons déjà tous vécu ce moment de stress, de colère, d’anxiété incontrôlable et envahissant. Le cœur s’emballe, et tambourine dans la poitrine. C’est normal, le cœur et le cerveau interagissent.
On peut donc passer par l’organe du cœur pour reprendre le contrôle de nos émotions débordantes et des pensées intrusives grâce à la cohérence cardiaque.
C’est gratuit comme l’air et très inspirant !
L’idée de base consiste à respirer profondément au rythme de:
3 fois par jour, 6 inspire/expire par minute, pendant 5 minutes ! Le fameux 3-6-5
RespiRelax+ :
Une appli qui vous veut du bien.
Elle est gratuite pour Ios et Android. En un clic, on part pour 5 minutes (ou durée au choix) de respiration contrôlée quand vous voulez et où vous voulez.
Un jeu d’enfant !
Téléchargez ici:
Conseils lecture
Le célèbre 3.6.5 du Dr David O’Hare
Pour aller plus loin et intégrer facilement la cohérence cardiaque à votre quotidien .
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Coup de coeur pour Cohérence KID du Dr David O’Hare.
Ce livre pour les enfants est absolument génial.
Les Respiroutines sont ludiques et rigolotes ! De quoi s’amuser en prenant de bonnes habitudes.
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» Lors d’un discours devant des centaines de personnes, un vieil homme enseignait la gestion du stress à un auditoire très attentif.
Il prit un verre d’eau dans ses mains. Tout le monde s’attendait à ce qu’il parle du verre d’eau à moitié vide ou à moitié plein.
Mais au lieu de cela, et avec un large sourire sur son visage, l’homme a demandé : « Combien pèse ce verre d’eau ? »
Les dizaines de réponses entendues variaient de quelques centaines de grammes.
« Le poids absolu n’a pas d’importance. Cela dépend plutôt du temps pendant lequel je tiens ce verre. Si je le tiens pendant une minute, il n’y a pas de problème. Si je le tiens pendant une heure, je ressentirai une douleur au bras. Si je le tiens pendant une journée entière, mon bras deviendra engourdi et paralysé. Dans chacun des cas, le poids du verre ne change pas, cependant, plus je le tiens longtemps, plus il devient lourd. » «
« Je suis un prescripteur de la sophrologie, avant une psychothérapie, une évaluation, une hospitalisation »
Quoi de plus naturel que se demander si la sophrologie va pouvoir apporter à nos enfants des solutions à nos problématiques?
Pour vous rassurer, nombreux sont les professionnels de santé qui orientent leurs patients vers la sophrologie.
Le fondateur de la Sophrologie était lui même neuropsychiatre et professeur de psychiatrie. Il a travaillé une grande partie de sa vie au développement et à la mise au point de sa discipline.
Le Professeur Marcel Rufo est l’auteur de nombreux ouvrages consacrés au développement de l’enfant.
Voici un extrait d’interview:
Alain Giraud : Professeur Marcel Rufo vous êtes un prescripteur fervent de sophrologie. Le retour au corps est-il pour vous fondamental ?
Pr Marcel Rufo : Oui… Pourquoi cette habitude de prescrire de la sophrologie ? A l’origine on avait, en suivant le professeur Ajuriaguerra (psychanalyste), mis en place à Marseille une formation de psychomotricité. Il y a bien longtemps. Et très rapidement on s’est aperçu que des pratiques de relaxation et de training autogène rendaient d’extraordinaires services notamment dans les cas de somatisation. Lorsqu’un enfant, par exemple, était paralysé des jambes alors qu’il n’y avait pas de signe neurologique, ce retour au corps vécu sur le plan phénoménologique s’inscrit bien dans la démarche d’Alfonso Caycedo, l’inventeur de la sophrologie qui, lui-même, était psychiatre et phénoménologue. Ce cadre de réflexion et de pensées pouvaient correspondre aux symptôme, il s’agissait alors de trouver le moyen de leur donner un sens : la Sophrologie est venue dans le droit fil de la psychomotricité et aussi de la phénoménologie.